🍸 Écoute Écoute Surtout Ne Fais Pas De Bruit

Maisjusqu'à présent, on ne peut pas en France interdire une route à un type de véhicule particulier "normal" (voiture ou moto). Bon c'est une "route" particulière vu que c'est un tunnel mais Exemplesde consignes positives. « Marche comme une petite souris » plutôt que « Ne fais pas tant de bruit ». « Cette porte reste fermée » plutôt que « N’ouvre pas cette porte ». « Tu peux jouer avec ceci » plutôt que « Ne touche pas à mon ordinateur ». « Assieds-toi sur le divan » plutôt que « Ne saute pas sur le divan ». Pourquoine pas marcher dans la forêt en écoutant de l’indus. Gens’t Naït – Archives 1/3. Éditions Gravats, 2019. Écouter. mercredi 12 juin 2019 par Etienne Menu. J’ai d’abord écouté ce disque assis, à mon bureau, et il m’a pesé sur les oreilles, je n’ai pas bien su quoi en faire. Avantde partir en promenade avec votre chien qui n’écoute pas. Avant de partir en promenade avec votre chien qui n’écoute pas, il faudra lui apprendre à ne pas avoir peur de tous les bruits qu’il entoure. Vous pouvez dans un premier temps dans votre salon ou dans votre jardin lui apprendre à ne plus avoir peur avec des méthodes simples. Écoute écoute Écoute, écoute, surtout ne fais pas de bruit, On marche sur la route, on marche dans la nuit. Écoute, écoute, les pas du Seigneur vers toi, Il marche sur ta route, Il marche près de toi. 1. Ils ont marché au pas des siècles (bis) Vers un pays de joie (bis) Ils ont marché vers la lumière Pour habiter la joie. 2. Ils ont 7raisons d’écouter du bruit blanc. Ls avantages les plus flagrants me venant à l’esprit concernant son utilisation sont les suivants : 1. UNE AMÉLIORATION DE L’ENDORMISSEMENT ET DU MAINTIEN DU SOMMEIL. Il permet d’aider les personnes à s’endormir plus facilement ansi qu’à rester endormie pendant la nuit. Dans de nombreux Maintenantqu’on y pense, Le succès n’est rien de plus que la vie de n’importe quel musicien français doté d’un QI supérieur à 50, mais passée en accéléré. Celui-ci, en général, suit une pente descendante (ne cherchez pas, c’est du Raffarin). Fier dans la vingtaine et crachant à la gueule du Capital, il commence à courber l’échine dans la oiPk0J. 1L’écoute de l’autre, dans les métiers du social, ou de l’humain – et certainement l’écoute de l’autre de manière générale – a quelque chose de toujours mystérieux. Elle peut paraître facile, mais ne l’est pas. Elle s’échappe lorsque l’on tente de la saisir, et peut surgir alors qu’on ne l’attend pas. Elle n’est pas une technique que l’on peut apprendre et appliquer, et pourtant elle s’entraîne. Elle est au cœur de bon nombre de professions du social, cependant sa vraie place, de même que sa vraie valeur, restent difficiles à évaluer. 2Ecouter, par définition, implique un bruit, une source sonore, que nous avons une tendance naturelle à essayer d’identifier nous aimons savoir ce qu’est ce bruit que nous écoutons. Ecouter l’autre, dès lors qu’il y a relation humaine, ne procède pas autrement il ne s’agit pas uniquement d’entendre avec notre sens auditif les mots prononcés, mais d’identifier – de comprendre » disons-nous – ce qui est dit. C’est là que les difficultés commencent là où il y a quelqu’un qui a dit des mots, et qui de ce fait en détermine le sens. L’écoute implique d’entrer en contact avec ce monde à part entière en même temps que, pour nous-même, cet autre univers qu’est tout être humain. 3Le premier réflexe, confronté à cette immense inconnue qu’est l’autre, consiste à se raccrocher à ce que l’on possède, soit nos connaissances et références propres. C’est compréhensible, mais c’est pourtant là le piège. L’on peut devenir très habile, atteindre à une certaine pertinence, relever des choses consensuellement admises, mais chaque fois que nous pratiquons de la sorte nous nous éloignons de ce dont nous pensons nous occuper l’autre et sa réalité unique. 4Ce constat n’a rien de banal, il peut être fait et refait très facilement. Beaucoup de professionnels, y compris de la relation d’aide, sont convaincus qu’ils pratiquent une écoute qui inclut la personne, et qu’ils arrivent à des interprétations et observations définissant cette personne. Or, lorsque ces mêmes professionnels prennent la peine, par le biais d’entretiens enregistrés dans un cadre de formation continue ou de supervision, de vérifier le bien-fondé de cette idée, ils se retrouvent très souvent à constater qu’ils n’ont en réalité pas entendu l’autre, qu’ils n’ont pas su rester à l’écoute mais se sont fait une idée de l’autre, idée qui a orienté toute leur intervention pendant l’interaction, et qui ne correspond pas à la réalité de l’autre. Il est ainsi possible de se fabriquer toute une construction mentale, d’être convaincu de répondre aux réalités et besoins de l’autre, alors que l’on est en train de passer totalement à côté de ce qu’il ou elle exprimait réellement. En réécoutant l’enregistrement, parfois même deux ou trois fois, ce constat devient souvent d’une telle évidence qu’il en a quelque chose d’insupportable. 5Comment cela est-il possible, alors que ce n’est nullement le but recherché ? Parce que, peut-être, la réalité de ce qu’est l’écoute est mal posée, mal définie. Beaucoup de professionnels du social ont appris et sont convaincus qu’ils doivent être capables de décoder l’autre, de l’interpréter ; c’est d’ailleurs souvent ce qui est attendu d’eux. Leur intervention ira alors logiquement dans ce sens. Ils intègrent ainsi une forme d’écoute qui exclut la personne au profit d’une idée ou interprétation de la personne. Dans cette forme d’écoute, l’attention est portée sur la compréhension de l’autre, au détriment d’être portée sur l’autre. En d’autres termes, le professionnel est à ce moment trop préoccupé par sa propre recherche de compréhension pour être véritablement disponible à l’écoute de la personne. Il est centré sur lui-même, sur son effort – certes louable – et il ne lui reste que peu de disponibilité à l’autre, donc peu de chance de pouvoir l’entendre. 6Nous avons là une première exigence fondamentale de l’écoute elle demande avant toute chose une attention libre, une disponibilité à recevoir, à laisser venir à soi. L’écoute est réceptive et non émissive. De même qu’il faut faire silence dans le monde physique si l’on veut entendre clairement les bruits environnants, de même il faut faire silence dans sa pensée si l’on veut écouter l’autre de manière à l’entendre. Mais ce silence ne se fait pas lorsque nous cherchons à interpréter ou à expliquer, car dans ce cas nous sommes dans une attitude essentiellement émissive ; nous faisons trop de bruit » nous-même pour pouvoir entendre les bruits extérieurs. Ceux-ci existent, ils passent mais nous ne les captons pas. Nous n’avons pas fait suffisamment silence pour être en état d’écouter. La personne parle, amène son monde, son univers qui est elle, mais nous ne sommes pas prêts, alors nous ne le remarquons pas. Nous entendrons peut-être ses mots mais pas la personne et ce qu’elle exprime d’elle au travers de ces mots. Ce n’est pas véritablement avec cet être humain unique que nous serons en contact. La relation de personne à personne ne s’établit pas, et elle manque. 7Dans de telles situations, et elles sont certainement bien plus nombreuses que nous ne l’imaginons, il y aura fort peu d’écoute. L’entretien dérivera, la plupart du temps sans que s’en aperçoivent les protagonistes, vers une situation de type questions-réponses, où le professionnel cherchera à avancer, tandis que la personne écoutée répondra poliment aux questions puisque c’est le professionnel, celui qui sait », qui les lui pose, mais où les éléments les plus pertinents, les plus réels pour la personne auront été ratés. 8Une telle démarche ne pose évidemment pas problème si la relation est clairement définie comme une situation dans laquelle le professionnel a besoin de recueillir des informations sur la personne. Lorsqu’il s’agit de connaître les antécédents médicaux de quelqu’un, sa situation financière en vue de décider de l’attribution ou non d’une aide sociale, ou encore ses habitudes alimentaires, nous sommes dans une situation d’entretien ou de consultation. La relation n’est pas basée sur l’écoute et ne la réclame pas. Par contre, dès lors que la relation se veut un soutien de la personne, que ce soit en milieu social, pédagogique ou médico-social, interviennent comme données fondamentales tant la qualité de la relation humaine que la qualité de l’écoute. 9Ainsi, plus la relation tend à être un accompagnement de la personne vers une autonomie et une maturité psychosociale, plus elle nécessitera d’écoute. Un entretien est suffisant pour une récolte de données et d’informations, tandis que l’écoute de la personne devient de plus en plus primordiale dès lors que nous tendons vers un soutien ou un accompagnement. Il convient cependant de relever qu’écouter, d’une certaine manière, n’est pas le but. C’est le moyen qui, lorsqu’il est employé à l’usage de la personne, permet à celle-ci d’être entendue. C’est là qu’est le véritable début de la relation, le moment où le professionnel du social devient quelqu’un, un partenaire qui compte. 10Être entendu, fait apparemment simple, se révèle d’une puissance remarquable. C’est se sentir exister, pris en compte, considéré. À l’inverse ne pas être entendu, ne pas se sentir considéré mène soit à se soumettre si l’autre est plus fort ou en position de pouvoir comme c’est presque toujours le cas dans le médico-social, et par là souvent à se décourager, à baisser les bras, soit à résister si nous en avons les moyens – et avec les moyens que nous avons. C’est une réalité humaine que nous pouvons tous, que nous avons tous expérimentée. Nous en souvenons-nous encore lorsque, professionnels, nous sommes face à un patient, un client, un résident, un handicapé, un malade qui résiste » comme l’on dit, ou qui fait preuve d’agressivité à notre égard ? 11Cela dit, il n’y a rien d’évident au fait d’écouter et d’entendre une autre personne, quand bien même cela peut par moments se passer de manière tout à fait simple et naturelle. Ecouter demande un étrange mélange où il faut pouvoir se mettre suffisamment de côté soi-même tout en étant résolument présent, être libre d’une volonté de résultat tout en restant réveillé et en at-tension », en tension vers. En ce sens c’est une attitude particulière, surtout pour qui veut l’utiliser professionnellement. S’il y a toutes formes d’écoute, une réalité demeure la personne écoutée perçoit, consciemment ou non, qu’elle est entendue, ou alors elle ne le perçoit pas, ce qui à de rares exceptions veut dire qu’elle ne l’est pas. L’autre est entendu ou ne l’est pas, c’est là le critère de l’écoute. En ce sens elle ne s’improvise pas, elle ne relève pas de la simple intention. Au-delà de celle-ci il y a des conditions à remplir, et des obstacles rédhibitoires. 12Ces obstacles sont divers. L’un relève de ne pas donner sa pleine valeur à l’écoute, de ne la voir que comme quelque chose de partiel, qui peut être utile mais n’est pas en soi-même porteuse de résultat. Cette vision amène à déconsidérer l’écoute comme outil de travail et à porter son attention sur d’autres démarches, avec pour corollaire de ne pas laisser se déployer le potentiel de l’écoute. Un deuxième obstacle tient au fait que tenter l’écoute demande de laisser de côté le désir ou l’attente d’aider, tout simplement du fait que lorsque nous sommes pris par ce mouvement nous adoptons une attitude active et volontariste, qui ne peut exister simultanément avec l’ouverture, la disponibilité que demande l’écoute. Ces deux états peuvent se succéder, mais n’existeront pas dans le même instant. Nous aurons un impact différent sur la personne avec laquelle nous sommes en relation si nous sommes dans l’un ou dans l’autre. Actifs, nous lui donnons l’information que l’espace relationnel est dirigé par nous, que prioritairement c’est à nous, professionnels en train de faire un certain travail, qu’il appartient. C’est nous qui tenons le fil de ce qui va se passer. Ecoutants-réceptifs, nous informons la personne qu’elle a la liberté de se déplacer à sa manière dans l’espace relationnel, qu’elle peut se l’approprier – ou du moins s’en approprier une partie car nous restons certes existants et présents – et qu’elle peut en être elle un élément actif. La différence est fondamentale, et peut conduire à des résultats aussi inattendus que spectaculaires, comme l’illustre l’exemple suivant 13Anne [*] est éducatrice dans une école spécialisée qui accueille des jeunes en difficultés scolaires et comportementales. Depuis quelques mois, Jorge [*], 15 ans, pose de sérieux problèmes au sein de l’institution. La situation est arrivée à un tel point que, après de nombreux essais et de nombreuses discussions entre les différents intervenants, une réunion est fixée par la direction avec le médecin psychiatre référent de cette institution. Le but de cette rencontre est clair décider d’une médicalisation de Jorge. Mal à l’aise avec cette situation, Anne, qui suit une formation continue en écoute centrée sur la personne, aborde la question lors d’une séance de supervision. Elle commence par présenter la situation, puis passe en revue les différentes démarches qui ont déjà été entreprises par ses collègues et elle-même. Au bout d’un moment et pour compléter le tableau le superviseur lui demande Qu’en est-il de la mère et de vos rapports avec elle ? » La réaction d’Anne est instantanée, et elle en est stupéfaite Cette femme est elle-même une ancienne élève de notre école. Nous continuons à la traiter comme lorsqu’elle était là. Nous ne l’avons jamais considérée comme une adulte, encore moins comme une partenaire pour ce qui concerne son fils. » 14Cette constatation est un véritable déclic pour Anne, et la conduit à tout envisager sous un angle nouveau. Elle en parle lors de la réunion avec le psychiatre et demande à pouvoir rencontrer cette mère avant de prendre une décision pour Jorge. Sa proposition est acceptée et elle fixe un rendez-vous avec la mère, rendez-vous au cours duquel elle la rencontrera véritablement pour la première fois, où elle sera en contact avec cette femme qui a un fils dans cet établissement, qui a des projets, des soucis, des idées. Toutes choses qu’aucun des professionnels n’avait encore réalisées, ni ne s’était soucié – alors qu’extérieurement, cela va sans dire, leurs rapports étaient normaux avec cette femme, qu’il n’y avait visiblement rien d’inhabituel. Une relation totalement différente commence lors de ce premier rendez-vous, et se construit pendant plusieurs autres. Quant à Jorge… Deux semaines après, plus personne dans l’institution ne parle de le médicaliser ; il ne pose plus de problème insurmontable, son comportement est correct, la question ne reviendra jamais sur le tapis ! Entre l’avant et l’après, la seule différence tient au fait qu’une professionnelle du social a pour la première fois écouté cette mère, que cette dernière a enfin été entendue, considérée, qu’elle a enfin eu de la valeur aux yeux de l’institution où se trouve son fils, qu’elle est devenue une partenaire dans les réflexions le concernant. 15Il ne faut pas se le cacher, les habitudes, dans le domaine du social, sont à bousculer pour qu’il y ait plus de place à l’écoute. Les professionnels sont la plupart du temps pris dans l’impression, qui en même temps relève souvent d’une demande posée sur eux, qu’ils sont tenus de savoir, qu’ils doivent être capables de comprendre, d’interpréter. Il en résulte fréquemment une impression de se sentir en charge de » comme le mot est bien choisi !. Une somme considérable de temps et d’énergie est dépensée à tenter de répondre à ces attentes intérieures et extérieures – c’en est même à se demander s’il n’y a pas là une des causes importantes de la fatigue et de son corollaire le burn-out, connus pour guetter les professionnels du social. Insidieusement, la nécessité de savoir éloigne de la ressource qu’est l’écoute, et par là de la capacité à faire appel au savoir » de l’autre, qui pourtant est la personne concernée. 16Certes, il y a là une autre difficulté, et non des moindres. Laisser plus d’espace à cet univers à part entière qu’est l’autre, devenir disponible à l’écouter et regarder se dessiner ses routes, ses moyens, de même que ses obstacles, c’est accepter de se faire entraîner dans un monde qui n’est pas le sien, c’est entrer dans un territoire inconnu dont nous ne sommes pas les habitants, dont nous ne détenons pas les clefs. L’écoute, au contraire de l’entretien ou de la consultation, demande de se laisser guider par l’autre. On ne mène pas une écoute, tout au plus la pratique-t-on. C’est bien plus l’écoute qui nous mène, et il convient alors de ne pas se perdre. Pour cela il faut de la présence et beaucoup d’attention, car si nous savons la suivre, l’écoute ne nous mènera pas n’importe où. Si nous pouvons, parce que nous en avons la disponibilité, nous laisser entrer dans le monde inconnu de l’autre, nous découvrirons un univers qui contient sa cohérence interne, qui par rapport à ses propres composants se tient. L’écoute relève moins de chercher à comprendre pourquoi cela tient ni ce qui fait que c’est ainsi que de constater, d’observer ce qu’il en est. 17L’écoute est observation des choses telles qu’elles sont. Elle mène à une découverte un peu plus grande de réalité, ou plus précisément d’une réalité, ou mieux encore d’un fragment d’une réalité, d’un monde, celui d’un être humain unique. Plus nous acceptons notre ignorance de ce monde, plus nous aurons de chance d’en découvrir un peu plus, puisqu’il n’est pire observateur que celui qui croit déjà connaître. 18Une dernière différence, une dernière caractéristique fondamentale résume peut-être toutes les autres. Le professionnel peut préparer un entretien ou une consultation. Il en connaît le contenu général, sait à l’avance de quoi il sera fait. Il dispose de questions à poser, qui lui permettront de récolter les informations dont il a besoin. Par contre il ne peut pas préparer un moment d’écoute, dont il ne connaît pas le contenu à l’avance. La seule chose qu’il puisse faire est de s’y préparer, soi. Pour être écoutant, le professionnel doit en réunir les conditions. Avant d’ouvrir à l’autre, il convient de s’être occupé de son chez-soi. Avant d’être disponible à l’écoute, il peut y avoir des craintes, des peurs, des tensions, de trop forts désirs d’y arriver, etc. qu’il est nécessaire tout d’abord d’identifier, puis dont il faut trouver moyen de se libérer, du moins suffisamment pour qu’ils ne viennent pas encombrer au point d’occuper quasiment tout le terrain, au détriment de la disponibilité intérieure. 19L’écoute relève d’une capacité humaine bien plus que technique. Les questions que l’on pose lors d’un entretien peuvent être écrites dans un questionnaire, mais l’écoute ne préexiste jamais. Elle repose sur la personne qui la pratique et sur son aptitude propre. C’est cette personne qui en fera la qualité. Pour l’exercer professionnellement, il est capital de s’y entraîner, de s’y confronter peut-être, et pour cela d’avoir un cadre dans lequel il est possible d’apprendre en faisant des erreurs sans pour autant provoquer de dégâts. L’écoute n’est pas un outil qui s’acquiert, il faut devenir soi-même l’outil de l’écoute. À ces conditions il devient possible de la pratiquer véritablement et avec la compétence que demande l’exercice de ces métiers si délicats qui touchent à l’humain. Notes [1] L’observatoire, revue d’action sociale & médico-sociale, N° 50, 2006, pp. 29-32. [*] Prénoms fictifs. Forums des Zéros Une question ? Pas de panique, on va vous aider ! Accueil > Forum > Communauté des Zéros > Discussions générales > Le bon vieux bruit de connection internet... Liste des forums Ce sujet est fermé. ...mais, comment est-il né et pourquoi ne l'entend-on plus ? Anonyme 13 avril 2008 à 214959 Vous savez, ce bruit qu'on avait il y a longtemps, aux débuts de l'Internet, avec Tele 2 en 56K etc, c'était une suite de grésillements, sans réel sens, mais juste que ça se déclenchait à chaque fois qu'on se connectait, je m'en souviens, mais j'aimerais savoirComment et pourquoi avait-il été créé?Pourquoi ne l'entend-on plus de nos jours, et surtout comment l'entendre pour les nostalgiques?Avez-vous connu cette époque vieille je le conçois? 13 avril 2008 à 215832 Sisi je l'entends des fois, quand je vais aider une amie à ma mère qui est toujours en 56k et elle est avec Orange, jpense pas que ce soit typique de télé2. Anonyme 13 avril 2008 à 221150 C'est le modem qui fait ce bruit, ça ne dépend pas d'un FAI en particulier. Par contre ne me demande pas pourquoi il yavait ce bruit ni comment ça se passait exactement la connexion, ni comment elle se passe aujourd'hui avec l'ADSL,, parce que je ne sais pas. Quelqu'un pourra sûrement éclaircir le sujet. Et pour les nostalgeek il y a des fichiers wave qui reproduisent plus ou moins bien ce bon vieux son... chercher par exemple sur ou Anonyme 13 avril 2008 à 221234 Citation c_olivier Ah j'adore ce son Mais techniquement pourquoi une communication ferait ce bruit là ? Anonyme 13 avril 2008 à 223934 Bah c'est un peu comme du morse clems942. Le client et le serveur communique en envoyant des sons à des fréquences qui ne veulent peut être rien dire pour toi, mais qui ont bel et bien un sens. Anonyme 13 avril 2008 à 224314 Le son est de l'analogique 13 avril 2008 à 225850 ce n'est qu'un hypothése, mais je pense que les données transité du numeriqua a l'analogie au numerique et que pour faire cette transition on utilisait la ligne telephonique, or la ligne telephonique ne transmet que des impulsion les vibrations de la voix donc les bits seraient transmis en impulsion et retransmis en bit 13 avril 2008 à 230207 Le modem traduit le signal digital binaire sortant du PC et le traduit en signal sonore analogue pour pouvoir le transmettre via les lignes téléphoniques. 14 avril 2008 à 01212 C'est d'ailleurs le même son que ferait un fax... mettez le haut parleur! Ou les vieux ordis à lecteur cassette alice pas le fai, commodore..., cassettes qui font toujours le même bruit dans une chaine hifi traditionnelle, mais sans ordi pour l'écouter et s'en servir. Espéranto polyglotie - Bépo - Linux - Anarchie - Végétalisme - Spiritualité - S’ouvrir et changer le monde ! 14 avril 2008 à 04433 Pour l'adsl on ne l'entend plus car il n'y a pas de haut parleur tout simplement Je pense qu'il y avait un HP dans les modem 56k pour s'assurer de la bonne marche de l'opération, maintenant le HP est remplacé par des diodes 14 avril 2008 à 12007 Citation et pourquoi avait-il été créé? Personne ne l'a créé, le son est présent en permanence, mais il semblerais que les modems étaient réglés pour émettre les sons à la connexion, mais plus une fois la communication établie. Si tu veux les entendre une fois le modem connecté, branche un téléphone sur la même ligne, décroche et écoute Citation ne l'entend-on plus de nos jours, et surtout comment l'entendre pour les nostalgiques? On ne les entend plus car les modems ADSL utilisent une autre bande de fréquence que celle du téléphone, par conséquent les fréquences utilisées n'ont plus de signification sonore pour un téléphone ou équipement équivalent le haut parleur des modems fonctionnait semble-t-il, comme celui d'un téléphone.Citation connu cette époque vieille je le conçois? Oui, habitant à la campagne je l'ai même entendu pendant trop longtemps... Et puis c'était pas pratique quand tu voulais faire du Diablo 2 online en pleine nuit, fallait que je couvre le modem avec une couverture pour pas que les bruits réveillent les parents, jusqu'à ce que je trouve une option pour les désactiver Blond, bouclé, toujours le sourire aux lèvres... 14 avril 2008 à 73352 Citation Oui, habitant à la campagne je l'ai même entendu pendant trop longtemps... +1. J'ai le net depuis 1999 mais l'ADSL seulement depuis 2004. 14 avril 2008 à 74735 lolllllll sa me rapellais quand j'avais 1modem 56K avec le branchement comme celui de l'imprimante mais en plus petit je sais plus comment il s'apel . et le modem carte PCI interne 56K lolllllll .et le son merdique qui fait du bien quand la connection marche du coup qu'est ce que sa fait du bien la technologie hein !!!!!!!!! 14 avril 2008 à 81508 Le petit ce n'était pas le cable RJ45 ? xD Pour le bruit comme la été dit, je pense que ça proviens bien d'une communication puisque rappelez vous nous étions branchés directement sur notre numéro de téléphone fixe . Donc je pense que pour dire à la ligne téléphonique fixe "Je ne transmet pas un appel mais une demande de connection" sa envoyer ces signaux sonores. Et c'était simplement un petit haut parleur qui nous faisait profiter de ces sons surement pour voir si on arrivait bien à ce connecter ^^ 14 avril 2008 à 90854 D'abord il y a la numérotation téléphonique. Puis ensuite le serveur et ton modem échangeaient login, mot de passe, etc ... C'est ce que tu entendais. Anonyme 14 avril 2008 à 91254 Mon frère qui habite au fond de la Drôme n'a accès qu'au 56K... On vit très bien avec ce petit bruit . 14 avril 2008 à 93932 Si y'a pas d'accents dans mes messages c'est parce que je suis sur un clavier norvegien Anonyme 14 avril 2008 à 125200 Pour information, si on n'entend plus le bruit actuellement sur l'ADSL c'est que ils n'utilisent pas les même bande de fréquence. Quand le reseauc 56k a été utilisé, en gros cela revenait a remplacer votre micro et ecouteur par le modem pour communiquer. Ils utilisait la même ligne que votre voix au même endroit pour communiquer. C'est pour cela que vous l'entendez rt que vous ne pouvez pas telephoner en même temps. Avec l'ADSL vous pouvez téléphoner en même temps que surfer sur internet. Pourquoi ? car en réalité l'oreil n'entend pas les sons dont la fréquence est supérieure à 20kHz. Or une ligne téléphonique peut laisser les ondes a plus que 20kHz. L'idée a alors été d'utiliser les fréquences >20kHz pour transmettre les données. En pratique votre modem, quand vous l'allumez, test avec l'opératuer toutes les fréquences entre 20kHz et le max de la ligne pour voir la qualité. Ainsi il se mette d'accord sur les frequences utilisées et le nombres de données envoyé d'un coup. C'est pour cela que l'allumage des modem ADSL est un peu long 14 avril 2008 à 130649 Citation ChristopheGPour information, si on n'entend plus le bruit actuellement sur l'ADSL c'est que ils n'utilisent pas les même bande de fréquence. Quand le reseauc 56k a été utilisé, en gros cela revenait a remplacer votre micro et ecouteur par le modem pour communiquer. Ils utilisait la même ligne que votre voix au même endroit pour communiquer. C'est pour cela que vous l'entendez rt que vous ne pouvez pas telephoner en même temps. Avec l'ADSL vous pouvez téléphoner en même temps que surfer sur internet. Pourquoi ? car en réalité l'oreil n'entend pas les sons dont la fréquence est supérieure à 20kHz. Or une ligne téléphonique peut laisser les ondes a plus que 20kHz. L'idée a alors été d'utiliser les fréquences >20kHz pour transmettre les données. En pratique votre modem, quand vous l'allumez, test avec l'opératuer toutes les fréquences entre 20kHz et le max de la ligne pour voir la qualité. Ainsi il se mette d'accord sur les frequences utilisées et le nombres de données envoyé d'un coup. C'est pour cela que l'allumage des modem ADSL est un peu long Euh, j'ai des petits doutes là, si le téléphone classique permettait de faire passer des fréquences de 20Hz à 20MHz la bande de fréquence des sons audibles par l'humain, comment explique-tu la perte de qualité du son à travers le téléphone ? Si ce dernier transmettais le son sans modification, il ne devrait pas y avoir de dégradations. Blond, bouclé, toujours le sourire aux lèvres... 14 avril 2008 à 134703 Qualité et fréquence sont deux choses différentes. Peut-être qu'effectivement le téléphone ne transmet pas toute la gamme de 20Hz à 20kHz mais en tout cas une grande partie. En ce qui concerne la qualité, c'est juste une question de micro, de haut parleur et de perte de signal sur la longueur, mais un la 440Hz merdique au téléphone reste un la 440Hz Espéranto polyglotie - Bépo - Linux - Anarchie - Végétalisme - Spiritualité - S’ouvrir et changer le monde ! Anonyme 14 avril 2008 à 144153 Citation balou67Qualité et fréquence sont deux choses différentes. Peut-être qu'effectivement le téléphone ne transmet pas toute la gamme de 20Hz à 20kHz mais en tout cas une grande partie. En ce qui concerne la qualité, c'est juste une question de micro, de haut parleur et de perte de signal sur la longueur, mais un la 440Hz merdique au téléphone reste un la 440Hz C'était une sorte de question réthorique, en réalité je connais la réponse la bande de fréquence réservée aux communications téléphonique est 300 à 3400Hz. Blond, bouclé, toujours le sourire aux lèvres... Anonyme 14 avril 2008 à 152232 Ce bruit me fait penser au démarrage chargement de mes vieux jeux sous Amstrad. Ralala, nostalgie, quand tu nous tiens. Anonyme 14 avril 2008 à 153301 Artefact2 Oooook, Faudrait que j'arrete de montrer mon manque de culture serieux... 14 avril 2008 à 160952 Citation Artefact2 Oooook, Faudrait que j'arrete de montrer mon manque de culture serieux... Vu ton "Oooook" on peut en déduire que tu connais peut-être Terry Pratchett, ce qui est un signe de Haute Culture Avancée et Raffinée Si y'a pas d'accents dans mes messages c'est parce que je suis sur un clavier norvegien Anonyme 14 avril 2008 à 161912 Citation mrjay42 Citation Artefact2 Oooook, Faudrait que j'arrete de montrer mon manque de culture serieux... Vu ton "Oooook" on peut en déduire que tu connais peut-être Terry Pratchett, ce qui est un signe de Haute Culture Avancée et Raffinée Ook? OOk! Ook. 14 avril 2008 à 162119 En tout cas ça fait penser au bruit du talkie-walkie parfois... News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,0 537 notes dont 79 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Après un événement dramatique dans la maison qu'il rénove, un homme entend l'appel au secours d'un fantôme, ce qui l'incite à consulter un expert en paranormal. Regarder ce film En SVOD / Streaming par abonnement NetflixAbonnement Voir toutes les offres de streaming Bande-annonce 145 Dernières news Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Spectateurs OUI, je valide ! "N'écoute pas" est une très bonne production Netflix espagnole. Dès les 10 premières minutes, on nous montre que le film va être sombre et glauque. Pas mal de scènes brusques, imprévisibles. Je suis très content que le réalisateur y ai insisté dessus. J'aime être surpris par un film d'horreur, dans celui-ci, c'est à 100% le cas. C'est bien filmé, les bandes sons sont effrayantes, c'est toujours un plus pour ... Lire plus Netflix nous sort des productions qui par rapport à ses débuts sont un peu plus intéressante, si on puis dire. Ici un pitch assez basique avec des Jumpscares plus ou moins prévisibles et une atmosphère, qui se mets en place sans trop de longueurs. Même si on ne peut mettre de côté les petites ficelles sonores dans le genre paranormal... PVE.... Donc sans être complètement original, l ensemble arrive a nous tenir en haleine avec juste ... Lire plus Dans le genre horrifique, les espagnols ont largement fait leurs preuves et nous abreuvent régulièrement de productions de ce type. "Voces" ne fait pas dans l'originalité en recyclant l'éternel thème de la maison hantée et en usant des codes habituels. Rien de bien nouveau. Du côté du frisson, on a vu mieux aussi. Quelques piques d'intensité dans "Voces" avec quelques passages tendus et quelques jumpscares mais rien d'extraordinaire. On ... Lire plus Déjà vu ce genre d'histoires des centaines de fois. Un film basé sur les jumpscares et sur les clichés du genre "on se sépare, je vais à la cave, va voir au grenier". Très mou et rien de vraiment original. 79 Critiques Spectateurs Photos 11 Photos Infos techniques Nationalité Espagne Distributeur - Année de production 2020 Date de sortie DVD - Date de sortie Blu-ray - Date de sortie VOD - Type de film Long-métrage Secrets de tournage - Budget - Langues Espagnol Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa - Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires

écoute écoute surtout ne fais pas de bruit